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Autres Perspectives
3 mai 2017

Ne vous laissez pas abuser !

Choisir la vie ou le rejet

stage-surf-trip-adekua-fuerteventura-12Nous voyons la crise alors que nous sommes en pleine mutation. L’avenir offrira de larges potentiels même si ne nous sera pas épargné la tâche de nous pencher sérieusement sur les grandes questions de la reconsidération de l'approche du travail ainsi que sur la nécessaire meilleure distribution des richesses.

Il est possible aussi de refuser l'avenir, de ne pas vouloir aller dans le courant de la vie, de ne pas vouloir y être actif, ne pas vouloir surfer sur la vague et d’y préférer la nostalgie, le retour à un passé idéalisé qui au fond, n'a jamais vraiment existé.

 

Se jeter dans la gueule du loup n’apportera que le malheur

Le Front National se nourrit de nos peurs, de nos frustrations, de nos blessures, de nos incompréhensions des évènements en cours et qui nous heurtent. Il nous propose un monde replié sur lui-même, pointe du doigt des boucs-émissaires à renfort de simplifications et de caricatures, proposent des solutions faciles, des ruptures, des renoncements... Ces représentants vous mentent et ils se jouent de vous.

violenceNe nous y trompons pas, ce qui nous attend si nous leur donnons le pouvoir, à l'heure où les pays se positionnent pour être acteurs et maîtres de leur destin, c'est une terrible régression sociale et économique, c'est une mise au ban de la France qui ne pourra plus peser dans les décisions internationales, c'est au quotidien un pouvoir d'achat qui va s'écrouler, une valeur de l'épargne qui va fondre, c'est un parcours direct et inéluctable vers les tensions et la guerre... La guerre pour nous, pour nos enfants, à une heure où un envol est possible vers du développement durable pour le peu que nous gardions espoir.

Les responsabilités

Jean-Luc Mélanchon joue un jeu dangereux ! En ne se positionnant pas clairement pour le vote de Macron, il fait un pari. Un pari qui pourrait lui permettre d'être mieux positionné dans le jeu des législatives. Mais il joue gros, très gros car il est prêt à mettre dans la balance le basculement du pays dans l'ombre et le malheur. Il joue avec notre avenir.

Nicolas Dupont Aignan... que dire de plus ?! …A la moindre occasion, s'il en venait à accéder au pouvoir, ceux qu’il a rejoints n'en feraient qu'une bouchée. S'il ne parvient pas au pouvoir, il en sera de même d'ailleurs.

Ceux qui ont favorisé la montée du FN, qui ont contribué à le banaliser portent une lourde responsabilité. Mais ceux qui ne se positionnent pas aujourd’hui clairement contre le FN porteront une large part dans les malheurs qui nous attendent en cas de victoire de ce parti xénophobe et rétrograde.

Ne vous laissez pas abuser par les menteurs. Ils ne veulent que vous posséder… 

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30 avril 2017

Les loups rodent

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Oeil pétillant et rires grossiers

Il semble bien qu’entre ces deux tours, les loups jubilent de la parole qui se libère, forts d'un appui de l’ordre du 20%. Parce qu’un petit s’est couché devant eux, leur proie leur semble à portée de crocs. C’est impressionnant de constater ces rires grossiers, cet œil pétillant tandis qu'ils prononcent leurs paroles méprisantes. Déjà ils s’y voient, plus rien ne les retiens.

Face à eux, l'arme des forts

Qu’ils ne s’y trompent pas ! Ils ont déjà bien de la chance que leur soit laissée une telle tribune, c’est leur accorder un honneur qu’ils ne méritent pas, celui pourtant de la démocratie qu’ils entendent bien piétiner à la première occasion. Oui, qu’ils ne s’y trompent pas, leur haine aura tôt fait de faire face à un mur ! Pas le mur du rejet, pas celui de la « chosification de l’autre », mais le mur barrage à leurs pulsions de mort, à leur sans gêne et leur vanité. On ne les supportera pas bien plus longtemps !

La vie est un courant puissant et la lumière aura le dernier mot. Qu’ils ne s’y trompe pas, une armée humaine se lèvera, la non-violence est l’arme des forts. Ils auront tôt fait de s’y frotter s’il leur venait de croire qu’ils pourront aller plus loin.

29 avril 2017

Les sirènes de la mort

Culpabilité et faute morale

Ne pas culpabiliser les électeurs du FN ? C’est l’aspect ultime du relativisme qui cherche jouissif à se libérer, à casser le dernier rempart pour se soustraire à tout carcan moral. C’est pourquoi cette question leur tient à cœur, elle est pour ces extrêmes, existentielle, et a quelque chose de jubilatoire.

La culpabilité est une affaire personnelle qui met chacun face à sa conscience. Le sentiment de culpabilité appartient donc à ceux qui ont à y faire face, faire avec, et je le leur laisse bien volontiers.

Par contre, sans aucune ambiguïté, c’est un devoir de le clamer : le vote FN est une GRAVE FAUTE MORALE

Ni les situations socialement difficiles, ni les violences vécues, ni les éventuelles zones d’ignorance, ni la crédulité ne peuvent contredire cette réalité.

porte voix

Et ce serait une faute de ne pas le dire haut et fort, par paresse, par crainte d’effet contreproductif, par volonté mal placée de ne pas bousculer, par excès de modestie. Respecter l’autre c’est aussi ne pas renoncer.

 

Ne pas dire : on ne savait pas

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On peut se voiler la face, faire comme si, mais personne ne peut dire aujourd’hui qu’il ne sait pas : le FN n’est pas un parti comme les autres ; c’est la xénophobie, la peur, le repli, le camp de la bêtise et de la haine, les deux allant de pair. Ce fléau se nourrit de la politique spectacle dans toute sa grossièreté. C’est d’ailleurs à cela qu’on le reconnaît. Honte à ceux qui ont avec eux pactisé on aura tôt fait de savoir pourquoi ! L’annonce est faite à l’instant : le poste de 1er ministre. Tel était le deal. Ben tiens !

Un choix fondamental
L’avenir est compliqué, face à une augmentation exponentielle de la productivité annoncée, les questions centrales de la manière d’aborder le travail et celle de la redistribution des richesses devront à un moment ou à un autre être traitée, faute de quoi le capitalisme s’effondrera.

Mais de grâce, donnons à l’avenir une chance, contribuons-y, ne le  sabordons pas bêtement dans cette voie facile des sirènes de la mort.

29 avril 2017

JE VEUX UN BEL AVENIR POUR MES ENFANTS

Le relativisme ambiant

Dupont Aignant... ce patriote qui se dit héritier de De Gaulle vient de tomber le masque pour le peu qu'il y en ait une fois eu un : il vient de brader la France aux fascistes, il vient de vendre son âme au diable. J'ai toujours pensé qu'il n'était qu'un extrême droite qui n'osait pas l'affirmer, mais cette fois, l'attrait du pouvoir a prévalu.
 
Je suis atterré par tout cela, par ce relativisme ambiant ! Le pape est en Egypte et s'engage corps et âme... je n'ai aucun doute sur l'engagement de l'Eglise de France et sur son positionnement. Mais je regrette qu'elle ne ce soit pas prononcée d'une même voix et clairement pour un vote qui fait barrage à l'extrême droite.

L'inconséquence du "après tout"

Le FN au pouvoir, c'est la dévaluation assurée dans les semaines qui suivent l'élection... 30% de valeur en moins pour notre monnaie, pour la pauvre épargne qu'on a réussi à mettre de côté à force d'efforts perspicaces, c'est la chute de l'économie, c'est la voie directe vers les conflits armés... Et puis surtout : c'est la bêtise, l'injustice et l'enfermement.

Haddock de pacotille et Haddock le VRAI

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Comment peut-on se laisser séduire par des avocats véreux qui jouent les capitaines Haddocks sur des bateaux de pêche dont ils se moquent éperdument (et qui ont d'ailleurs peine à tenir debout... Haddock même ivre réussissait !) ?

Haddock les aurait virés à coups de pompes ! Comment peut-on se laisser séduire par des prétendus portes paroles qui pathétiques et pitoyables (quoique) ne sont capables que d'ânonner constamment les mêmes rengaines comme des tournes disques coincés sur leur sillon usé ? Au fond, le faux Dupont rejoint le faux Haddock pour une balade cauchemardesque.
 
Non, vraiment ce jour je n'ai pas envie de parler de musique ou poésie. Il y a plus urgent !
Je veux un bel avenir pour mes enfants ! Et avec Haddock, le vrai, je pousse une belle gueulante  réveillons-nous !

6 février 2015

Autonomie et non-violence

Autonomie et non-violence
Le courage n'appartient pas aux violents Nous sommes tellement baignés dans une culture de la violence qu'on finirait par l'oublier : la lâcheté est le sort des violents car ils ont depuis longtemps renoncé. La non violence demande courage, perspicacité,...
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25 janvier 2015

Reprendre la plume

Reprendre la plume

L’actualité des derniers jours sonne comme un impératif, me porte à reprendre la plume et alimenter ce blog «  Autres perspectives  » ouvert en 2009.

Tout est parti d’un livre écrit en 1999 qui portait sur l’arrivée imminente à «  un seuil décisif  » auquel aura à faire face l'humanité. En 2009, le livre a été mis en ligne en même temps que l'ouverture du blog.

flickr-sama093-cc

En 2009, j’introduisais le livre téléchargeable en ces mots  : «  Cet ouvrage a été écrit courant 1999. Dix ans déjà  ! Le temps n’était pas mûr pour accueillir ces mots. Dix ans plus tard, non seulement cette analyse n’a pas pris une ride (car les tendances n’ont malheureusement fait que s’accentuer), mais elle se révèle dans sa pertinence, apporte des éclairages qui plus que jamais peuvent être utiles pour aborder ces temps avec sérénité et espérance. Dix ans aussi durant lesquels cette réflexion, chez d’autres, a fait son chemin, avec d’autres mots, d’autres colorations, allant dans le même sens comme autant de sentinelles perdues dans le brouhaha de la vie mais qui ne demandent qu’à se rejoindre pour créer cette poussée nécessaire.

Jamais l’exigence a été si forte pour l’homme devant son destin. Plutôt que la non-violence et  cette nécessaire «  qualité du regard  », les risques sont grands de choisir les voies les plus faciles et de refuser cette exigence qui nous grandit. Puisse ce travail modestement aider à tracer la voie".

En 2014, l’actualité nous «  saute à la figure  » comme un rappel urgent.

Je prends le risque ici, de prendre les choses à rebours : partir des dernières pages  de cette étude.Ces mots ne peuvent-être compris dans leur profondeur qu’après lecture de l’ensemble de l’œuvre, elle-même fruit de nombreuses rencontres. Je vous invite à vous y reporter. Dans les billets suivants, j’essaierai de reprendre et commenter certains passages qui mènent à cette conclusion.

Espérant vous compter parmi les «  followers  » assidus  !

Gonzague Portier

Question de sens : question de fond. (page  395 - Autres Perspectives - mars 2000)

flickr-philippe-leroyer-ccComment à ce stade de l’histoire les individus sont-ils toujours aussi infantiles ? Cette interrogation est née d’un constat observé et vécu quotidiennement. Tant de déperdition dans la relation, tant de fuites, de lâchetés, d’incompréhensions, d’agressions, de blessures, d’échecs, rencontrés ou personnels. Et puis, la lecture de l’histoire, la confusion aujourd’hui. Ce siècle et ses grands cataclysmes. L’humanité est-elle condamnée dans ses perpétuelles erreurs ? Face à des situations de plus en plus difficiles, tendues, face à l’affirmation d’une perte de sens qui aurait tôt fait de nous laver de toute responsabilité, il s’imposait de participer à cette réflexion afin de répondre à ces autres questions que l’on se pose pour aller de l’avant : comment être acteur aujourd’hui ? Vers quel progrès ?

Dans cette réflexion, Teilhard de Chardin (prêtre et anthropologue) m’ouvrait une brèche ; il écrivait au début du  siècle : «  nous arrivons à un seuil où une conscience adulte majeure sera nécessaire  ».

Repères : l’intensification, marque d’un seuil critique.

flickr-xavier-donat-dans l'air du temps-cc

Quelques repères sur l’état du monde actuel ne pouvaient que nous conduire à davantage de lucidité : oui le bilan  est préoccupant. Oui une part majeure de la population mondiale est mise de côté dans un état de pauvreté inacceptable, scandaleuse au regard de la croissance affichée et des progrès technologiques enregistrés. Oui l’humanité subit, et aura à faire face ces prochaines années, à ses contradictions et, dans un environnement en évolution rapide, à des défis de grande ampleur.

Oui un changement profond sera nécessaire qui dépasse des perspectives scientifiques et technologiques. Jamais l’humanité n’a autant été mise devant sa liberté et sa responsabilité.

La voie d’un équilibre entre intériorité et extériorité : du collectif à la reconnaissance de la Personne.

Entre la condamnation de la modernité et la course en avant dans des dérives utopistes, une voie est possible qui passe par un surcroît de conscience et un appel, non plus collectif, mais individuel. Il importe aujourd’hui, non pas de condamner la modernité, mais de redonner toute la force à l’appel à la personne :

l’épanouissement personnel et l’épanouissement du monde passent d’une manière solidaire  par un juste rapport aux êtres et aux choses ainsi que par un juste équilibre entre extériorité et intériorité (nous aborderons ce point dans un prochain article). L’extériorité ne fait que traduire un surcroît de conscience au niveau des moyens (poussée de la connaissance et des mutations technologiques), mais le contenu, ce qui donne l’orientation de ces moyens provient de l’intériorité. Un juste équilibre doit donc s’établir.

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L’équilibre n’est pas d’ordre mathématique mais doit traduire l’accueil de la vie dans sa globalité ;  intériorité et extériorité participent au mouvement d’épanouissement et d’évolution de la vie.

Redécouvrir l’intériorité, lui redonner sa juste place n’est autre que redonner place à l’humain et le reconnaître  pour ce qu’il est, pour sa grandeur et sa fragilité.

Ce retour sur lui-même lui permettra de se retrouver.


Conscience adulte majeure : l’enjeu d’une démocratie véritable et d’un regard nouveau.

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L’enjeu est celui de la vie, celui d’un avenir possible à visage humain. Il est aussi fondamentalement celui de la démocratie.

L’équilibre entre intériorité et extériorité est le point de jonction entre l’individu et la société. C’est la tension vers cet équilibre qui fait progresser la démocratie.

Cette dernière n’existe pas en soi ; elle est un idéal vers lequel on tend. Elle ne s’inscrit pas dans un modèle et se situe au-delà des cultures. Si elle passe par un cadre législatif et réglementaire, si elle s’inscrit dans des structures, elle est avant tout informelle : celle de tous les jours, tous les actes de chaque acteur de la vie.

Ainsi le choix, l’orientation possible du monde contemporain se situe entre une tension vers l’uniformisation où se trouvent associés, la fusion, la fuite, le mensonge, la peur et les réflexes de protection (prises de pouvoir) ou une tension vers une véritable union, celle qui différencie, «  l’union de centre à centre  », ou «  l’union communion  » qui se nourrit de la confiance, de l’accueil de la différence, de la confrontation.

Donner sa confiance, c’est prendre le risque de la différence, c’est accueillir l’autre pour ce qu’il est, c’est savoir que la confrontation sera nécessaire à une avancée vers plus de vérité.

Cette seconde voie n’est possible que par un regard nouveau (et à renouveler chaque jour), un regard qui admet l’intériorité et la dignité de soi et de l’autre avec qui je suis en relation.

La démocratie n’est pas l’affaire d’un calcul rationnel qui concerne des êtres-machines à faire, à calculer, et à consommer,  elle nécessite le recours à toute la personne, y compris son coeur qui sort du champ du prouvable et du quantifiable.

Le seuil : celui où se profile une convergence entre reconnaissance de la Personne et reconnaissance d’une Humanité commune

Cette  évolution est nécessaire, ce passage est possible. Il n’y a pas aujourd’hui perte de sens mais plutôt besoin de le retrouver. Les défis sont à la hauteur de notre dignité. C’est précisément la reconnaissance de cette dignité qui constitue le point de passage.

L’histoire ne se renouvelle pas et les jalons sont posés pour effectuer ce passage : la déclaration  des droits de l’homme de 1946 a posé les bases d’un objectif ambitieux qui fait référence. La connaissance de l’Homme, de son fonctionnement progresse, tant sur le plan pédagogique que psychologique, l’image se précise et ne peut que nous rendre humble et émerveillé. Il ne viendrait plus à l’idée de quiconque de considérer l’enfant comme valeur négligeable, ses droits sont proclamés, même s’ils demeurent bafoués. Une ère nouvelle se profile dans la relation entre les hommes et les femmes. La conscience du patrimoine commun que constitue la Terre, la conscience de notre responsabilité dans la gestion de l’écosystème planétaire,

flickr-europeen-commission-cc

La conscience d’une humanité commune, peuvent nous mettre sur la voie du coeur.

* C’est la reconnaissance de cette fraternité  qui me permettra de m’accepter ; d’accepter l’autre comme je m’accepte moi-même. Jean Vanier parle «  d’accueillir notre humanité  ». Accueillir notre humanité c’est, pour chacun de nous,  reconnaître qui nous sommes et reconnaître que nos frères, dans leur différence nous ressemblent fondamentalement.

«  Liés ensemble dans la même famille des nations, nous sommes tous responsables les uns des autres. Tant que nous n'avons pas découvert notre appartenance à une humanité commune, notre dépendance mutuelle et la nécessité de nous entraider, nous continuons à nous cacher derrière nos sentiments de supériorité, d’élitisme et leurs conséquences. Chaque être humain, aussi petit soit-il, a quelque chose d’unique à apporter à l’humanité  ».

«  L'être humain est plus que sa capacité de penser, de faire ou de produire. A l’intérieur de chacun de nous se cache un enfant assoiffé d’amour. Le coeur est le lieu où nous rencontrons l’autre, où nous souffrons et nous réjouissons avec lui  ».

Cette reconnaissance de la fraternité n’est pas utopique. L’utopie serait de croire que nous puissions rester longtemps encore dans un état de déséquilibre aussi marqué.

flickr-jmj2011-cc

L’évolution, du reste, nous révèle chaque jour davantage notre humanité commune par les liens qui nous resserrent. Cette reconnaissance est concrète, proche de l’humain, proche de nous. Elle nous concerne et nous interpelle directement : «  La voie du coeur implique des choix. Je peux choisir de prendre cette voie et traiter les gens en êtres humains et non comme des machines. Je peux voir le cuisinier d'un hôtel simplement comme un homme ou une femme payé pour bien faire la cuisine, ou comme une personne qui a un coeur, qui a une famille, qui a besoin qu’on la comprenne et qu’on soit bon avec elle  ».

«  Tous les êtres humains font partie de l’humanité commune, ce qui implique qu’aucun individu, aucun groupe n’est supérieur à un autre  ».

19 janvier 2015

Nos générations et la question vitale.- Article de 2009

Nos générations et la question vitale.- Article de 2009
Un élément déterminant et éclairant De toutes part, spécialistes et hommes de la rue évoquent la crise économique. Au mieux, ils entrevoient les défis immenses à relever. Que l'on se situe sur un plan technique ou que l'on raisonne résolument sur du plus...
3 mars 2009

Crise financière ?

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Nombreux sont ceux qui évoquent la crise en pointant le doigt les « banquiers » : « les groupes bancaires ont péché par manque de contrôle. Ils se sont rendus par là complices des dérives et des errances de la sphère financière ». Avant d’aller plus loin...
28 février 2009

Comprendre la crise actuelle

Voici quelques extraits d'éléments d'analyse que j'avais développée dès la fin 1999 à partir des informations que j'avais pu collecter à l'époque.... Que les adeptes du libéralisme (sous leurs masques humanistes) ne fassent pas comme s'ils ne savaient...
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